Volets roulants solaires : la solution innovante
le 25/10/2025
En résumé ? Les volets roulants solaires offrent autonomie totale : pas de câbles ni de facture électrique. Leur trio gagnant : panneau solaire, batterie et moteur. Avec jusqu'à 45 jours d'autonomie, même sans soleil, ils permettent d'économiser, de protéger la planète et de simplifier la vie. Leur longévité (panneau de +20 ans) et l'absence de travaux achèvent de convaincre. Le choix est vite fait.
Vous en avez marre de vos anciens volets qui grincent, nécessitent un entretien constant et font grimper vos factures d'électricité à cause des câblages ? Moi aussi, jusqu'à ce que je découvre les volets roulants solaires. Autonomes grâce à un panneau photovoltaïque, une batterie et un moteur, ils fonctionnent même sans grand soleil, avec une autonomie jusqu'à 45 jours sans lumière. Pas de travaux électriques requis, évitant des frais supplémentaires. En plus, ils réduisent votre empreinte carbone, améliorent l'isolation thermique de votre maison et se contrôlent via télécommande ou smartphone. Bref, un confort quotidien intelligent, sans compromis écologiques ni budgétaires.
Mon passage aux volets roulants solaires : une idée lumineuse pour ma maison
Bonjour à tous ! À peine emménagé, je cherchais un remplacement écologique à mes vieux volets battants. En surfant, j’ai découvert les volets roulants solaires. Sceptique au départ, j’ai testé et je partage cette solution sans câblage électrique.
Leur secret ? Un panneau photovoltaïque intégré au coffre. Il capte la lumière du jour, même par temps couvert, et la stocke dans une batterie. Celle-ci alimente un moteur pour actionner le volet. Pas besoin de courant : autonomie jusqu’à 45 jours, panneau durable +20 ans, batterie 8-10 ans.
J’ai choisi cette solution pour son côté écologique : énergie renouvelable, réduction du CO2. Ils améliorent aussi l’isolation thermique. En été, un capteur ferme automatiquement le volet pour garder la fraîcheur. Pilotables à distance, ils offrent commodité et sécurité. Design épuré (blanc/gris anthracite), mais coloris limités.
Pour moi, c’est un investissement durable : 25 ans en moyenne, éligible à des aides comme la prime énergie. Un choix malin pour l’environnement et les économies à long terme.
Comment ça marche un volet roulant solaire ? C'est plus simple qu'on ne le pense
Le trio magique : panneau, batterie et moteur
La première chose à comprendre, c’est qu’un volet roulant solaire est 100% autonome. Pas besoin de le brancher sur une prise, pas de câble à tirer à travers les murs. Tout se passe à l’extérieur, et c’est ça qui est génial.
Sur le coffre du volet, il y a un petit panneau photovoltaïque. Son rôle est de capter la lumière du jour. Et là, c’est le point super important : il n’a pas besoin d’un grand soleil éclatant pour fonctionner ! La simple luminosité ambiante, même par temps gris, lui suffit pour produire de l’électricité. C’est ce qui le rend efficace partout en France, été comme hiver.
Cette électricité est ensuite stockée dans une batterie cachée dans le coffre. C’est elle qui fait office de réserve d’énergie. Elle est conçue pour durer des années (souvent plus de 8 ans) et garantit que votre volet fonctionne même après plusieurs semaines sans lumière.
Enfin, quand vous appuyez sur la télécommande, la batterie envoie le courant au moteur, qui fait monter ou descendre le volet. C’est aussi simple que ça.
- Le panneau photovoltaïque : capte la lumière du jour pour la transformer en électricité.
- La batterie : stocke l’énergie pour une utilisation à tout moment, de jour comme de nuit.
- Le moteur : utilise l’énergie de la batterie pour actionner le volet.
Une autonomie à toute épreuve ?
La question qui tue : et si je pars en vacances en plein hiver pendant 3 semaines ? Pas de panique. La plupart des systèmes, comme ceux de Somfy par exemple, ont une autonomie impressionnante. On parle de jusqu’à 45 jours de fonctionnement dans le noir complet, sur la base de deux montées et deux descentes par jour. Autant dire que le choix est vite fait, on n’a quasiment aucune chance de se retrouver bloqué.
Les avantages qui m'ont convaincu : bien plus qu'un simple geste pour la planète
L'installation : un vrai jeu d'enfant (ou presque)
Quand j'ai découvert les volets roulants solaires, la simplicité d'installation m’a bluffé. Pas de câbles, pas de saignées dans les murs. Le poseur fixe les glissières et le coffre, et c’est terminé. Aucune poussière, aucun chantier. Pour qui a déjà rénové, c’est un soulagement. Même pour les fenêtres en hauteur ou les fenêtres de toit, pas besoin de percer la toiture, ce qui évite des frais et risques d’étanchéité. Et cerise sur le gâteau : les modèles sont livrés pré-assemblés, donc la pose est ultra-rapide, même en l’absence des propriétaires.
Un portefeuille et une planète qui disent merci
Le côté écologique m’a tout de suite séduit. L’énergie utilisée ? Le soleil, une ressource propre et gratuite. Zéro prélèvement sur le réseau électrique, zéro émission de CO₂ pour le fonctionnement. C’est un détail qui, multiplié par des milliers de foyers, change la donne. Ils améliorent aussi l’isolation thermique : moins de chauffage en hiver, moins de climatisation en été. Mon portefeuille l’a vite remarqué.
- Utilisation d'une énergie propre : fonctionnement grâce au soleil, une ressource inépuisable et gratuite.
- Réduction de la consommation électrique : aucune ponction sur le réseau électrique de la maison.
- Amélioration du confort thermique : aide à garder la maison fraîche en été et chaude en hiver.
- Baisse des factures d'énergie : moins de chauffage et de climatisation.
En creusant, j’ai appris que certains modèles, comme le MONO iD3 Solar de Bubendorff, tiennent jusqu’à 45 jours sans lumière, avec deux cycles d’ouverture-fermeture par jour. Même en hiver ou sous un ciel couvert, le volet reste opérationnel. C’est rassurant, surtout en cas de coupure de courant ou de vacances prolongées.
Fiabilité et longévité : un investissement sur le long terme
La pérennité du système m’a rassuré. Les panneaux tiennent plus de 20 ans, les batteries 8 à 10 ans. Aucun risque de panne. Certains modèles, comme ceux certifiés neutres en carbone, économisent deux fois plus de CO₂ qu’ils n’en génèrent sur 30 ans. Un détail qui compte pour l’empreinte globale du logement.
Avec le recul, le choix est clair. Ces volets allient praticité, durabilité et respect de l’environnement. La simplicité s’allie à la responsabilité écologique, un combo gagnant. En plus, le système s’intègre à tous les logements, même avec des contraintes d’espace. Le coffre, légèrement plus imposant, reste un compromis acceptable. Comme on dit, l’essentiel est de privilégier l’utile… et le durable.
Au-delà de l'écologie : le confort et la tranquillité au quotidien
Le pilotage à distance : la petite touche de modernité
Quand j’ai remplacé mes anciens volets manuels, la facilité d’utilisation a été un critère décisif. Fini les manivelles ! Mes volets roulants solaires se commandent à distance via une télécommande sans fil. Un clic suffit pour gérer une pièce. La compatibilité avec l’assistant vocal m’a convaincu : au réveil, un simple « Bonjour, ouvre les volets » suffit. Le modèle Somfy RS 100 Solar io, avec 45 jours d’autonomie, fonctionne même sans soleil. Pratique pour les hivers gris, non ? Ce système m’a changé la vie, surtout quand je travaille de chez moi.
Un fonctionnement tout en douceur et en sécurité
J’étais surpris par le bruit de mes anciens volets. Aujourd’hui, mes volets solaires sont silencieux grâce au système Soft stop & start. Le démarrage évite les claquements. La détection d’obstacle s’arrête si quelque chose bloque. Un jour, un jouet a empêché la fermeture : le volet s’est arrêté net. En hiver, la protection contre le gel protège le moteur. Un détail pratique, surtout quand on oublie de vérifier avant de partir. Fini les réveils en sursaut.
Et l’entretien dans tout ça ?
L’entretien des capteurs m’inquiétait. En réalité, la pluie s’en charge naturellement en automne-hiver. Ma routine :
- Nettoyer les panneaux solaires 1 à 2 fois/an avec une éponge douce et de l’eau claire.
- Profiter des averses pour une maintenance naturelle.
En trois ans, jamais eu à faire plus. Un quart d’heure par an suffit. Comparé aux volets classiques, c’est un jeu d’enfant. Même mes voisins ont noté moins de travaux. Comme moi, vous verrez : c’est un gain de temps inattendu.
Pour être tout à fait honnête : les quelques points à vérifier avant de se lancer
J’ai fait le tour du sujet et, pour être totalement transparent avec vous, tout n’est pas absolument parfait. Il y a quelques petits détails à connaître avant de faire son choix. Ce ne sont pas des freins pour moi, mais mieux vaut les avoir en tête.
L’esthétique et l’encombrement
Le premier point concerne les matériaux. On est souvent limité à des lames en aluminium ou en PVC. Pour les couleurs, c’est similaire : le choix est plus restreint, avec principalement du blanc et du gris anthracite. J’ai lu une quantité importante de retours utilisateurs, et ce critère revient souvent.
Autre détail : le coffre. Comme il doit loger la batterie et le moteur, il est en général un peu plus imposant. Sur une grande baie vitrée, ça ne se voit pas, mais sur une petite fenêtre, ça peut réduire légèrement l’apport de lumière. Ce n’est pas un problème majeur, mais c’est à anticiper.
L’exposition de la fenêtre : un point crucial ?
Même si la lumière du jour suffit, une fenêtre orientée plein nord ou régulièrement à l’ombre (balcon, arbre) peut poser question. La bonne nouvelle ? Les fabricants ont prévu le coup. Des modèles proposent un panneau solaire déporté qu’on fixe ailleurs pour optimiser la capture d’énergie. C’est un détail à vérifier en amont.
| Les grands avantages 👍 | Les points de vigilance 👀 |
|---|---|
| Installation facile sans travaux électriques | Choix de matériaux et de couleurs plus limité |
| 100% autonome grâce à l’énergie solaire | Coffre parfois plus volumineux |
| Économies sur les factures énergétiques | Exposition de la fenêtre à vérifier |
| Fiable même avec peu de lumière | Possibilité d’installer un panneau déporté |
Pour résumer, les volets solaires sont une solution innovante qui allie confort et écologie. Même si certains détails méritent attention, l’essentiel est là : un système autonome qui améliore l’isolation thermique tout en réduisant les émissions de CO2. Comme vous pouvez l’imaginer, j’ai personnellement opté pour ce choix, et c’est une décision que je ne regrette pas.
Mon bilan après quelques mois : le choix que je ne regrette absolument pas
Ça fait quelques mois que mes volets roulants solaires sont installés. Avec le recul, je suis conquis : cette technologie allie praticité, économie, écologie et confort. Pas de câbles, de prise ni de raccordement électrique. Dès le début, la simplicité d’utilisation m’a marqué. Télécommande, moteur silencieux… tout est pensé pour simplifier la vie.
La tranquillité d’esprit de ne rien consommer et d’avoir une installation facile, c’est pour moi le principal. Grâce au panneau photovoltaïque, mes volets stockent l’énergie solaire dans une batterie. Même en hiver ou par temps nuageux, ils fonctionnent sans souci. Côté isolation thermique, c’est un atout : en été, ils bloquent la chaleur ; en hiver, ils la retiennent. Résultat : moins de climatisation, moins de chauffage, donc des factures réduites.
Si vous rénovez ou cherchez à moderniser vos volets avec une solution verte, je vous recommande chaudement cette option. Pour ma part, c’est un choix sans regret : je ne reviendrais en arrière pour rien au monde !
Depuis quelques mois, mes volets roulants solaires valident tout leur sens ! Pratiques, écologiques, silencieux et pilotables à distance, ils offrent autonomie même sans plein soleil et réduisent les factures. Un choix idéal pour une maison moderne et engagée. 🌞🏡FAQ
Quels sont les inconvénients d’un volet roulant solaire ?
Je dois reconnaître que les volets roulants solaires ne sont pas parfaits, mais leurs défauts sont vite oubliés. D’abord, le choix des matériaux est restreint. Vous trouverez principalement de l’aluminium ou du PVC, avec peu de couleurs disponibles, surtout du blanc ou du gris anthracite. Ensuite, le coffre est parfois plus imposant, ce qui peut réduire légèrement la lumière sur de petites fenêtres. Enfin, si votre fenêtre est dans l’ombre permanente (à cause d’un balcon ou d’un arbre), il faudra opter pour un panneau solaire déporté. Mais avec un peu d’anticipation, ces points ne sont pas rédhibitoires.
Quel est le prix moyen d’un volet roulant solaire ?
Quand j’ai commencé mes recherches, le budget m’a un peu surpris, mais c’est un investissement qui se justifie. En général, comptez entre 350 et 800 euros par volet, selon les dimensions, les matériaux (le PVC est plus abordable que l’aluminium) et les options choisies. L’installation tourne autour de 100 à 300 euros par volet, car c’est plus rapide qu’un modèle électrique traditionnel. Bonne nouvelle : grâce à la TVA réduite à 5,5 % et à MaPrimeRénov’ (sous conditions), la note finale est allégée. Pour moi, le jeu en vaut largement la chandelle !
Est-ce que les volets roulants solaires sont déductibles des impôts ?
Oui, mais attention aux conditions ! Les volets roulants solaires peuvent bénéficier de MaPrimeRénov’, mais uniquement dans le cadre d’un projet global de rénovation énergétique. Il faut améliorer au moins deux classes énergétiques sur le DPE et passer par un artisan RGE. L’aide varie de 5 000 à 15 000 euros, soit 50 % du coût des travaux. Vous pouvez aussi profiter de l’éco-PTZ (prêt à taux zéro) si votre projet est éligible. Enfin, la TVA est réduite à 5,5 %, mais il faut présenter une attestation spécifique à votre professionnel. C’est un peu de paperasse, mais les économies à la clé valent le coup.
Est-ce qu’un volet roulant solaire fonctionne sans soleil ?
Une des grandes inquiétudes que j’avais, c’est justement : et si le soleil se fait la malle ? Eh bien, grande nouvelle : le volet fonctionne même sans soleil direct ! Le panneau photovoltaïque capte la lumière naturelle, même par temps couvert. La batterie stocke l’énergie pour jusqu’à 45 jours d’autonomie (sur deux cycles par jour), comme chez Somfy. Avec le recul, je peux vous dire que même en hiver, mes volets tournent sans accroc. Une chose à vérifier : l’exposition du panneau, mais un installateur vous guidera.
Est-ce que la pluie nettoie les panneaux solaires ?
Comme vous pouvez l’imaginer, la pluie fait 90 % du boulot pour garder le panneau propre. C’est même indiqué dans la notice d’entretien. En revanche, un petit coup de chiffon une à deux fois par an avec de l’eau claire est recommandé, surtout si votre maison est proche d’espaces verts ou de routes poussiéreuses. Je m’en suis occupé il y a deux semaines, et en trois minutes, c’était réglé. Rien de compliqué, et ça préserve l’efficacité du système sur le long terme.
Est-ce que les volets rentrent dans la prime rénov ?
Oui, mais comme je le disais plus haut, il faut respecter certaines conditions. MaPrimeRénov’ prend en charge les volets roulants solaires uniquement dans le cadre d’un projet global de rénovation énergétique. Il faut que vos travaux permettent un gain de deux classes énergétiques sur le DPE et que vous fassiez appel à un artisan qualifié RGE. L’aide varie entre 5 000 et 15 000 euros, selon vos revenus. En parallèle, la TVA à 5,5 % est un bonus bienvenu. Pour les démarches, je vous conseille de demander à votre installateur : c’est lui qui gère les dossiers en général.
Quelle est la durée de vie d’un volet solaire ?
À l’usage, la longévité m’a agréablement surpris. Les batteries, comme celle de chez Somfy, tiennent plus de 8 ans, et les panneaux photovoltaïques dépassent les 20 ans. Les moteurs sont garantis 7 ans en moyenne, et les lames en aluminium ou PVC résistent bien aux intempéries. J’ai lu que Bubendorff proposait même des batteries qui tiennent jusqu’à 10 ans. Bien sûr, tout dépend de l’exposition et de l’entretien, mais avec un minimum de vigilance (comme nettoyer le panneau une fois par an), c’est un équipement sur le long terme. Pour le changement de batterie, c’est un coût à prévoir, mais il est raisonnable par rapport à la durée d’utilisation.
Est-ce que l’assurance prend en charge des volets roulants ?
En général, les volets roulants ne sont pas couverts par l’assurance habitation de base. En revanche, si un événement couvert (comme une tempête ou une inondation) abîme vos volets, la prise en charge est possible. J’ai vérifié avec mon assureur, et il m’a expliqué que c’était considéré comme un élément de la maison, donc inclus dans les dommages matériels. Par contre, pour les pannes mécaniques ou l’usure normale, il faudra compter sur la garantie du fabricant (7 à 10 ans en général) ou sur vos économies. Mon conseil : demandez à votre assureur si votre contrat prévoit des options spécifiques pour les équipements éco-énergétiques.